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Pourquoi continuer à poser des questions à l’heure du big data et des mesures passives ?

Le market research s’est considérablement enrichie de techniques et mesures, de nouveaux modes de recueils et de traitements, en particulier dans la mesure passive.

Si on veut savoir ce que les gens font, il faut les observer. Des méthodes anciennes et nouvelles permettent de constater les comportements d’achats, la mixité des points de ventes etc.

En revanche si on veut accéder au pourquoi, au comment, au combien, le mieux reste de poser des questions, même à l’heure du social listening ou de la big  voire smart data.

Il y a de nouveaux supports ou lieux pour recueillir les réponses : le mobile, les réseaux sociaux par exemple, qui permettent d’atteindre des cibles difficiles. Il faut adapter les questionnaires, leur ton et leur design mais il s’agit toujours de poser des questions.

NB : Même si « le charme est une manière de s’entendre répondre « oui » sans avoir posé aucune question claire » (Camus) …  Nous conseillons toujours de poser des questions.