Ce n’est pas en allant plus vite que vous arriverez plus rapidement à la meilleure destination.
Sylvie Gendreau, Chargée de cours en créativité et innovation à Polytechnique Montréal, dans The Conversation
Après le mouvement « slow food » initié par Carlo Petrini pour sensibiliser les citoyens à la l’écogastronomie et à l’alter consommation, voici le mouvement « slow thoughts » initié par le professeur en psychiatrie Vincenzo Di Nicola qui rappelle que la réponse à un environnement qui change constamment n’est pas nécessairement la vitesse.
Peut-être, en effet, serait-il contre-productif de vouloir s’adapter à un rythme de plus en plus rapide en travaillant de plus en plus vite.
L’article complet est en accès gratuit ici